Malgré 8 lois successives, l’écart de salaire femmes-hommes stagne depuis le début des années 2000. Aujourd’hui encore, 10 viols ou tentatives de viols se produisent chaque jour sur un lieu de travail. Seule la mobilisation de toutes et tous permettra l’application des droits chèrement conquis et l’obtention de nouveaux pour les femmes.
A la centrale, les agentes (61 % des effectifs) cumulent les obstacles en matière de précarité et de dégradation des conditions de travail (voir tract en pièce jointe) :
- En 2017, les femmes gagnent en moyenne 800 € de mois par mois que les hommes
- Plus de 80 % des jours pour accident de travail, grave maladie ou longue durée ont été pris par des femmes
- Aucune mesure concrète n’a été mise en place pour sensibiliser, former et informer le personnel sur la lutte contre les violences sexistes et sexuelles au travail
RDV à Paris dès 15h40 place de la République
Rassemblement festif
En signe de solidarité, la CGT vous invite à porter un foulard violet.
https://cgteducac.fr/wp-content/uploads/2019/03/8_mars_centrale_CGT.pdf